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ANTHOLOGIE DE LA REPARTIE

ANTHOLOGIE DE LA REPARTIE

Prix 20,00 €
Qui n'a pas tenté de réagir à un événement ou à une situation insolite par un commentaire spirituel ? Qui n'a jamais rêvé de clouer le bec à un raseur ou à un prétentieux par LA réplique qui tue ? Tous les jours, des occasions se présentent pour déployer son esprit de répartie. Encore fautil être inspiré. Et l'être à temps !Lors d'une joute oratoire, mieux vaut donc ne jamais dégainer le premier. Surtout dans le monde des lettres, de la politique ou de l'art, où les bons mots fusent comme des flèchesÀ l'issue un dîner, Sacha Guitry raccompagna ses convives en leur présentant une luxueuse cave à cigares. L'un des invités, fort culotté, en prit cinq qu'il fourra dans sa poche, déclarant simplement- C'est pour la route- Merci d'être venu d'aussi loinDans un de ses ouvrages, Alexandre Dumas fils avait écrit : « Un vide douloureux qu'occasionnent les moments de faiblesse. » Un critique pointilleux lui demanda des éclaircissements sur cette phrase- Comment une chose vide peut-elle être douloureuse- Vous n'avez jamais eu mal à la têteFruit de plusieurs années de travail, cette vaste anthologie réunit 1 000 réparties attribuées à plus de 400 personnalités, hommes et femmes, de l'Antiquité à nos joursGuitry, Churchill, Voltaire, De Gaulle, Clemenceau, Wilde, Feydeau, Talleyrand, Cocteau... et des centaines d'autres !
ESSAIS SUR L'ART DE LA FICTION

ESSAIS SUR L'ART DE LA...

Prix 11,50 €
« Les remarques les plus intelligentes jamais écrites sur la littérature », soutenait Nabokov. « Je crois qu'on n'a jamais rien écrit de plus beau et de plus profond », s'émerveillait le philosophe William James. « Quant à moi, je place au-dessus de tout Un chapitre sur les rêves », répétait Borges. Et l'on montrerait aisément que les thèses développées par le grand écrivain argentin dans ses fameux textes des années 1940 sur la fiction viennent directement de ces Essays on the Art of Writing... Stevenson essayiste ? Théoricien de la littérature ? La France, curieusement, l'avait jusqu'ici ignoré. Et pourtant, L'Île au trésor fut bien publié, aussi, comme un manifeste littéraire, encadré, prolongé par une série de textes qui constituent la réflexion la plus novatrice de l'époque sur l'art du roman. La presse unanime a salué l'édition française de ces Essais (sans équivalent, d'ailleurs, en langue anglaise) comme un événement : le seul ensemble théorique d'envergure jamais écrit sur la littérature d'aventures - et, au-delà, sur ce frisson aventureux où Stevenson voyait l'essence même de la fiction.
PORC OU COCHON ? LES...

PORC OU COCHON ? LES...

Prix 13,20 €
Il y a quelques années, JLC avait obtenu un certain succès, voire un succès certain, avec Nouilles ou pâtes, plusieurs fois réimprimé, avec en prime les honneurs de Bouillon de Culture. Il s'agissait d'une quarantaine de chroniques humoristiques sur les nuances sémantiques entre les mots qui se ressemblent. Aujourd'hui, la démarche est différente, il ne s'agit pas de nuances, mais de « faux-semblants », c'est-à-dire des mots que l'on peut confondre. Un travail beaucoup plus important, puisqu'il s'agit de quelques 300 couples de mots. On y trouvera bien sûr de la linguistique (appât ou appas), un bestiaire (chameau ou dromadaire - crocodile ou caïman) de l'histoire (Joffre ou Foch), de l'architecture (coupole ou dôme), de la cuisine (cuissot ou cuisseau), de la littérature (Don Juan ou Casanova), la musique (chanteuse ou cantatrice), la médecine (IRM ou scanner), sans oublier les people (Carla ou Cecilia), etc.
CRITIQUE DE LA RAISON...

CRITIQUE DE LA RAISON...

Prix 12,00 €
Comment le mouvement de protestation du « peuple du live » s'est transformé en revendication positive, et enfin en projet de Loi, en voie d'être présenté. Pour comprendre les enjeux du Plan Livre, proposé par les acteurs sociaux de la filière livre, et soutenu parles élus, face à l'impotence et la vacuité de la bureaucratie culturelle. Pourquoie le livre numérique est un bide économique. Pourquoi la logomachie en vogue ne vous parle plus de « Tsunami » mais de « nouvelles pratiques culturelles ». Comment les métiers du livre résistent à la destruction massive d'activités humaines dont les menacent les prétendues « nouvelles technologies » ploutocratiques.
PETITES IGNORANCES DE LA...

PETITES IGNORANCES DE...

Prix 13,50 €
Dans nos conversations, nous utilisons des expressions populaires sans en connaître, l'origine, le sens profond : « Calendes grecques », « Parler français comme une vache espagnole », « Toast », « Cela fera du bruit dans le landerneau », « Chou blanc », « Je m'en lave les mains » etc... Plus de 300 expressions sont ainsi analysées clairement dans leur étymologie, leur évolution historique et littéraire. C'est à la fois savant, précis, enlevé, écrit dans une langue limpide par un historien des mots, pionnier de la linguistique, Charles Rozan (1824-1905)Chou blanc : « Doit pouvoir se traduire par coup manqué. Il n'est pas impossible que le mot chou ait été dit pour coup
LES MOTS IMMIGRES

LES MOTS IMMIGRES

Prix 17,50 €
À l'heure où revient le débat sur l'identité, avec des opinons opposées de plus en en plus violentes, Erik Orsenna a voulu, par la voie du conte commencée avec sa Grammaire est une chanson douce, raconter l'histoire de la langue française. Pour une telle ambition, le savoir lui manquait. Bernard Cerquiglini, l'un de nos plus grands linguistes et son ami de longue date, a bien voulu lui apporter ses lumières aussi incontestées que malicieuses.Et nous voilà partis, deux millénaires en arrière, chez nos ancêtres les Gaulois dont les mots sont bientôt mêlés de latin, puis de germain. Avant l'arrivée de mots arabes, italiens, anglais... Un métissage permanent où chaque langue s'enrichit d'apports mutuelsJusqu'à ce que déferle une vague de vocables dominateurs nés de la mondialisation économique et inventés pour son service. Ce globish aura-t-il raison de la diversité linguistique, aussi nécessaire à nos vies que cette biodiversité dont nous avons appris à reconnaître l'importance capitale, et la fragilitéEt si les mots immigrés, c'est à dire la quasi-totalité des mots de notre langue, s'ils décidaient de se mettre un beau jour en grève ? Ce jour-là, les apôtres de cette illusoire pureté nationale deviendraient muets. Il n'est pas interdit d'en rêver...
UN COEUR INTELLIGENT

UN COEUR INTELLIGENT

Prix 23,49 €
« Le roi Salomon suppliait l'Éternel de lui accorder un coeur intelligent.Au sortir d'un siècle ravagé par les méfaits conjoints de l'efficacité technologique et de la ferveur idéologique, cette prière a gardé toute sa valeurDieu cependant se tait. Il nous regarde peut-être, mais Il ne nous répond pas, Il ne sort pas de son quant-à-soi, Il n'intervient pas dans nos affaires. Il nous abandonne à nous-mêmes. Ce n'est ni à Lui ni à l'Histoire, délégitimée par un siècle d'horreurs commises en son nom, que nous pouvons adresser notre requête avec quelque chance de succès, c'est à la littérature. Sans elle, la grâce d'un coeur intelligent nous serait à jamais inaccessible. Et nous connaîtrions peut-être les lois de la vie, mais non sa jurisprudence. » Tel est le postulat d'Alain Finkielkraut. Pour s'interroger sur les rapports de l'homme avec ce qui l'entoure, il a choisi neuf livres : La Plaisanterie de Milan Kundera, Tout passe de Vassili Grossman, l' Histoire d'un Allemand de Sebastian Haffner, Le Premier Homme d'Albert Camus, La Tache de Philip Roth, Lord Jim de Joseph Conrad, les Carnets du sous-sol de Fédor Dostoïevski, Washington Square de Henry James, Le Festin de Babette de Karen BlixenPour sa nouvelle grande oeuvre personnelle depuis L'Imparfait du présent (Gallimard, 2002), Alain Finkielkraut nous redit combien, par essence, la littérature est essentielle au déchiffrement des énigmes du monde. Combien elle demeure le meilleur rempart contre les idées reçues et les certitudes. Combien les écrivains et leurs oeuvres modifient nos existences, façonnent nos vies, réorganisent notre perception des êtres, des valeurs, du présent ou de l'avenir.
N'ESPEREZ PAS VOUS...

N'ESPEREZ PAS VOUS...

Prix 23,90 €
Le gai savoir : rarement l'expression nietzschéenne se sera aussi bien appliquée qu'à ce livre... sur les livres ! Du papyrus au fichier électronique, nous traversons deux mille ans d'histoire du livre à travers une discussion à la fois érudite et humoristique, savante et subjec-tive, dialectique et anecdotique, curieuse et goûteuse. On y parcourt les temps et les lieux, les personnes réelles s'y mêlent aux personnages de fiction, on y fait l'éloge de la bêtise, on y analyse la passion du collectionneur, les raisons pour lesquelles telle époque engendre des chefs-d'oeuvre, la manière dont fonctionnent la mémoire et le classement d'une bibliothèque. On y explique pourquoi « les poules ont mis un siècle pour apprendre à ne pas traverser la route » ou comment « notre connaissance du passé est due à des crétins, des imbéciles ou des adversaires ». Bref, on s'y amuse de la « furia littéraire » de deux passionnés qui nous entraînent dans leur folle farandole dont chaque tour surprend, distrait, enseigne. En ces temps d'obscurantisme galopant, c'est peut-être le plus bel hommage qui se puisse imaginer à la cul-ture de l'esprit, et l'antidote le plus efficace au désenchantement.
DIRE PRESQUE LA MEME CHOSE...

DIRE PRESQUE LA MEME...

Prix 22,90 €
« Ce n'est pas un essai théorique sur la traduction, mais une illustration des problèmes que posent la traduction à travers des exemples qu'Umberto Eco a vécu : en tant qu'éditeur, en tant qu'auteur, en tant que traducteur lui-même. Ce sont ces trois éclairages-là que nous retrouvons sans cesse dans un texte qui fourmille d'exemples, en toutes les langues. Eco demande à ses lecteurs d'être plurilingues, et non polyglottes, nul besoin de maîtriser les langues citées pour comprendre, puisqu'on est toujours dans la comparaison.Lorsqu'on arrive à la notion capitale de la fidélité : s'il ne cite pas le fameux traduttore-traditore (que les Français ont inventé) il nous apprend que la fidélité n'est pas la reprise du mot à mot mais du monde à monde. Les mots ouvrent des mondes et le traducteur doit ouvrir le même monde que celui que l'auteur a ouvert, fût-ce avec des mots différents. Les traducteurs ne sont pas des peseurs de mots, mais des peseurs d'âme et dans cette histoire de passage d'un monde à l'autre tout est affaire de négociation. Voilà, le mot est lâché
LA GRAMMAIRE EN S'AMUSANT

LA GRAMMAIRE EN S'AMUSANT

Prix 12,10 €
« Ce projet a une histoire. Tout a commencé à Rennes en novembre 1997, devant un amphithéâtre bondé : venus de toute la France, des élèves de cinquante lycées avaient désigné le Goncourt des lycéens. Sur la scène on avait planté deux Goncourt officiels, Erik Orsenna et moi, pour débattre sur la grammaire et son enseignement. Pourquoi les manuels scolaires dégoûtaient les jeunes ? Pourquoi cette langue affectée, pourquoi tant de préciosité et de graphiques idiots pour énoncer des principes simples ? On avait l'impression que les nouveaux grammairiens cherchaient à se valoriser au détriment des élèves, de leurs parents et de leurs maîtres consternés. Ce jour-là, donc, deux écrivains qui vivaient et travaillaient avec les mots ont lancé aux lycéens rassemblées : « Nous allons vous écrire une grammaire lisible ! C'est juré. » Erik et moi sommes ensuite retournés à nos travaux, nous croisant de loin en loin. Il a tenu parole le premier, et traité le sujet sous forme de contes. Je lambinais. Dans mes déplacements de Perpignan à Lille, Dreux, Amiens, Besançon, j'ai bavardé avec des lectrices et des lecteurs, des profs de français, des lycéens, des parents. Ils me poussaient : - Vous vous y mettez quand ? - Revenez nous voir avec votre grammaire ! Je devais tenir à mon tour la promesse de Rennes. Nous pouvons déchiffrer, gribouiller, ânonner, nous suffire d'un langage pénible et hésitant, mais dans la vie moderne, même pour se promener sur Internet, mieux vaut lire, écrire et parler clair. La grammaire n'est qu'un mode d'emploi qui évolue avec l'usage et le temps. Ce n'est pas une punition mais une nécessité, un droit, une chance et un jeu. » P.R.
SEULS LES ENFANTS SAVENT LIRE

SEULS LES ENFANTS...

Prix 15,21 €
La règle que je me fixe, en rassemblant ces souvenirs, est de ne pas relire les livres dont je parle, puisque je cherche, non à en faire une présentation systématique et objective, mais à retrouver la trace qu'ils ont laissée dans ma mémoire.Une trace que je mesure aux passages, aux détails, aux citations que j'y retrouve, comme aux lacunes et aux oublis. je triche rarement, soit pour vérifier la date et l'édition, soit, exceptionnellement, pour retrouver un passage que j'ai en tête. bien souvent, d'ailleurs, je ne peux le faire, quand même je le voudrais, car ces livres, je ne les ai plus. mais je dois avouer que je viens de relire l'enfant et la rivièreJ'ai eu tort.
LE ROMAN DE LA BIBLIOTHEQUE

LE ROMAN DE LA...

Prix 27,00 €
Depuis longtemps, la critique s'intéresse aux lieux les plus fréquentés par les personnages de roman : salons, salles à manger, boudoirs, alcôves. Elle a oublié les bibliothèques que de riches particuliers ont la chance de posséder. C'est là pourtant que, du XVIIIe au XXe siècle, les romanciers nous conduisent très souvent. Mais ce n'est pas seulement pour nous convaincre du bienfait des retraites studieuses. Les « librairies », comme disait encore Montaigne, sont aussi des lieux de beauté, décorés avec goût par les esthètes (Oscar Wilde, Henry James). Elles sont aussi des aimants du désir, car chacun sait bien qu'elles contiennent des secrets, des livres interdits, convoités par les enfants. Plus surprenant, de Stendhal à Musil ou à Nabokov, elles offrent un refuge aux amants qui vivent entre leurs murs des expériences singulières. Elles abritent toutes sortes d'initiations (Cendrars, Green, Sartre, Murakami). Apparemment éloignées de l'histoire, elles entendent près de leurs murs le grondement de ses vagues, comme le disent en des termes variés Pirandello, Drieu La Rochelle, ou encore Heimito von Doderer.
OU DE VIVANTS PILIERS

OU DE VIVANTS PILIERS

Prix 15,00 €
Fût-il en fin de carrière ou de vie, un cadet de l'art d'écrire ne saurait déménager à la cloche de bois sans régler ce qu'il doit aux grands aînés qui l'ont, à leur insu, incité à poursuivre ou à tenter de rebondir. Tous les écrivains abritent au fond de leur coeur des passagers plus ou moins clandestins, souvent de la génération précédente, qui font pour eux office d'incitateurs ou d'excitants. «Intercesseurs et éveilleurs», disait Julien Gracq. Pas toujours les plus connus, et souvent inattendus. On s'en émancipera peut-être un jour, mais ce sont eux qui nous ont lâché la bride. C'est à ces maîtres proches ou plus lointains que je voudrais rendre ici hommage - ou témoignage. En rêvant de voir un jour des confrères bien plus qualifiés nous révéler leurs dettes d'honneur... comme un carnet de bal à conserver. R. D.
BEAUTE J'ECRIS TON NOM :...

BEAUTE J'ECRIS TON NOM...

Prix 21,50 €
En ce soir de ma vie, je me surprends encore à m'interroger par l'écriture de quel sens à été ma flèche, puisque je dois aujourd'hui me rendre à l'évidence qu'elle a toujours volé sans autre but que de ne pas en avoir. Sans autre but que d'être en vol vers... la mort : fatale et unique réponse qu'à l'instant de naître nous savons déjà par ce terrible pleur de l'expulsion, et que par nos poumons dès cette aube, en aspirant la vie, nous savons qu'il faudra l'expirer en son ultime soir, bien qu'auparavant en réponse à cette mort promise chanter la joie.Seul hymne qui nous serait naturel puisque l'humain s'est inventé contre les symétries de la natureEt aujourd'hui si j'entreprend d'écrire sur la peinture c'est pour en découvrir le sacré en remontant à ses prémisses, donc à la mère, à la femme, à mon rapport au féminin tellement ma petite enfance ainsi que mon adolescence ont cruellement manqué de ce pôle féminin, si essentiel pour ma survieSerge Rezvani
SECHER LES COUILLONS  -...

SECHER LES COUILLONS...

Prix 14,50 €
Petit dictionnaire à l'usage des gourmands de mots, ce florilège caustique et rabelaisien rassemble jurons, insultes, blasphèmes auxquels leur origine occitane confère une belle étrangeté. On ne s'étonnera point de constater qu'ils s'attaquent avec délectation aux imbéciles, aux paresseux, aux empotés, aux avares, aux prétentieux. S'ils brocardent particulièrement les femmes, c'est pour témoigner d'une obsession maladive pour toutes choses relatives aux affaires sexuelles. Quant aux ecclésiastiques, omniprésents dans ce département de vieille tradition catholique, ils en prennent naturellement pour leur soutane. Après le succès des 1001 mots de l'Aveyron, Daniel Crozes ouvre le fonds secret d'une langue savoureuse.
ANIMER UN ATELIER D ECRITURE N

ANIMER UN ATELIER D...

Prix 19,46 €
Entrer dans l'aventure de l'écriture , telle est l'invitation que nous proposent les auteurs de cet ouvrage. A l'heure où il se mène actuellement beaucoup d'ateliers d'écriture dans les pays francophones, ce livre est particulièrement bienvenu. Odette et Michel Neumayer nous y présentent à la fois des descriptifs d'ateliers, ainsi qu'une réflexion sur Les enjeux de ces pratiques, tout en donnant à voir les cheminements de la production littéraire. Ce livre présente quinze ateliers d'écriture placés sous le signe du tous capables d'écrire . On y aborde les questions Liées à l'invention, à l'animation, et on y donne des idées et des pistes de travail originales et efficaces : dépasser l'angoisse de la page blanche, apprendre à conceptualiser, écrire pour témoigner, intégrer les nouvelles technologies de l'information. Dans ces ateliers qui dialoguent avec les oeuvres d'auteurs tels que Kafka, Queneau, Proust, Simenon, Michaux, l'accent est mis sur le questionnement du patrimoine culturel. L'écriture y est envisagée non comme don ou comme inspiration, au contraire, les processus de création sont étudiés. Ce livre s'adresse à un cercle assez large de personnes parmi lesquelles : des animateurs d'ateliers à la recherche de nouvelles approches et désirant faire évoluer leurs pratiques de manière construite et fondée (qu'ils travaillent dans Les écoles, collèges, lycées, universités, centres sociaux, maisons de quartier, prisons, hôpitaux...)
BAUDELAIRE

BAUDELAIRE

Prix 13,50 €
«J'ai pris de la boue et j'en ai fait de l'or». Baudelaire est le premier poète du monde «moderne». Le nôtre. Un «vilain monde» qui «va finir» car il n'a plus rien à faire sous «le ciel». Un monde où le culte du progrès et la passion de l'argent ont «atrophié en nous la partie spirituelle», où la mécanique nous a tellement «américanisés» que rien parmi «les rêveries sanguinaires» des utopistes n'atteint les horreurs de la réalité positive. Un monde où la «beauté» n'a plus cours. À moins que l'artiste ne puisse l'extraire du Mal, la faire apparaître sous forme de «beauté interlope», tel un «soleil agonisant», brillant d'une «splendeur triste». Condamné pour Les Fleurs du Mal par la justice de son temps, vivant comme un paria, Baudelaire - comme le montre ici Robert Kopp - a fait de l'art son idéal, mais il ne croit plus au pouvoir rédempteur de la poésie. Le soleil noir de la modernité est aussi celui de la mélancolie.
MISERE DE LA KABYLIE

MISERE DE LA KABYLIE

Prix 18,00 €
Voici le double projet - jamais encore réalisé - de cette édition : publier de façon autonome et dans son unité mots-photos « Misère de la Kabylie », enquête d'Albert Camus parue dans Alger républicain du 5 au 15 juin 1939 : onze articles du reporter, accompagnés des vingt-trois photographies qui depuis quatre-vingt ans échappent au regard du lecteur de Camus. Or, très loin de célébrer un pays pour touristes, l'iconographie de 1939 montrait l'insoutenable misère et interpellait le lecteur indifférent :« Vois où ta politique a mené la Kabylie. Agis. Tout peut changer ! »Notre publication souhaite donc présenter ces clichés, en dépit d'un difficile rendu, dans un format proche de l'original. Choisis, intégrés avec soin dans la composition du journal, ils apportent un point de vue inédit tant sur le texte que sur le travail de journaliste en période de censure coloniale (décret Régnier). Par ailleurs, la présente édition tente de répondre à l'interrogation du lecteur curieux d'aujourd'hui : Qui tenait l'appareil photo ? Edition intégrale établie, présentée et annotée par François Bogliolo.
LE THEME DU PASSAGE DANS LE...

LE THEME DU PASSAGE...

Prix 18,00 €
L'oeuvre littéraire de J.M.G. Le Clézio, écrivain franco-mauricien, traduite dans de nombreux pays, se définit comme étant essentiellement interculturelle.Étoile errante est un roman publié en 1992, situé pendant l'Occupation, qui dénonce les absurdités de la guerre et met en parallèle divers récits de vie : ceux d'Esther, de Nejma, Nora, Mario et de tant d'autres étoiles errantes qui cherchent malgré tout à retrouver la libertéCette étude permet d'aborder sous diverses perspectives le thème du passage, à commencer dans sa dynamique géographique, par une rapide rétrospective historique, et ensuite à travers le rapport entre la France et l'Italie lors de la Seconde Guerre mondiale.